Album Magique d'Isapierre, Episode No 48 : Première opération spirituelle visible d'Isapierre par Joao de Deus...

Magie No 48 - Première opération spirituelle visible d'Isapierre par Joao de Deus...

J’ai été invité à me rendre au Brésil pour un séjour de trois semaines auprès d’un guérisseur reconnu, Joao de Deus. La veille, pendant la session de l’après-midi, Joao m’a proposé une opération spirituelle. Nous sommes le jeudi 21 février 2008 et à 8h00, j'entre dans la salle des opérations. Les Médiums sont déjà tous méditation pour générer les énergies de guérison.

De suite, un assistant demande si des personnes souhaitent avoir une opération visible avec Joao… Spontanément, je lève le bras. Il m'invite à le suivre et me place en file indienne devant le fauteuil de Joao encore vide. Après s’être informé de ma démarche, il me demande de garder les yeux fermés afin que les Entités de Lumière puissent déjà s'occuper de moi. Quelques minutes plus tard, Joao, qui vient d'arriver, décide de faire les opérations visibles en public sur l'estrade de la salle d'accueil devant tout le monde.

Il me prend lui-même par la main et me rappelle en portugais que je ne dois surtout pas ouvrir les yeux. Il me guide sur l'estrade et me plaque le dos et la tête sans ménagement contre le mur, juste à l'endroit où se trouve l'un des deux triangles sacrés de la Casa. D'un coup, une immense chaleur m'envahit complètement... Énergies ? Certainement… Toutes mes craintes disparaissent aussitôt et je commence à me détendre entièrement pendant que Joao entame la prière du matin. Puis, il se passe un petit moment de silence pendant lequel Joao se fait incorporer par l'une des Entités de guérison de la Casa. Placé deux mètres derrière lui, je sens entre nous deux comme un souffle, c’est l'Entité de Lumière qui est venue œuvrer ce matin.

Je ne peux trop m'occuper de ce qui se passe autour de moi car au même moment, des mouvements respiratoires très puissants se font à mon insu, des mouvements ondulatoires que je ne connaissais pas, des vagues montantes et descendantes sur tout le thorax que je ne peux expliquer. J'ai l'impression que mes côtes ondulent, c'est étonnant... En fait, ce mouvement respiratoire que je ne pourrais jamais reproduire me gave d'énergie et me prépare certainement à ce qui va suivre…

Joao me plaque contre le mur avec une force peu commune et m'ouvre la bouche dans laquelle il tâtonne quelques secondes à l'aide d'une pince. Très rapidement, il introduit une pince chirurgicale de 16 cm de long dans ma narine droite, s'arrête une fraction de seconde car il y a comme une résistance, la première paroi osseuse, et il force un peu plus fort. C'est à ce moment que la photo a été prise. Pour moi, la douleur est présente mais bizarrement, je n'ai ni envie de crier, ni envie de reculer, elle est complètement supportable car je suis vraiment dans une acceptation et une confiance totale. Une première cloison cède et la pince que Joao a introduite progresse encore de deux ou trois cm environ avant de s'immobiliser de nouveau… Une deuxième cloison cède et un liquide comparable en goût et en consistance au blanc d'œuf se répand dans mes sinus.

Sans perdre de temps, Joao provoque quelques vrilles pas très agréables pour moi avant de m'incliner la tête en avant puis il commence à retirer son instrument de mon nez. La douleur que je supportais très bien disparaît aussitôt et je comprends que cette opération si particulière est déjà terminée. Je n'ai pas même eu le temps de reprendre mon souffle, c'est trop rapide. Puis deux de ses assistants me prennent par les bras, me poussent à m'asseoir sur un petit fauteuil roulant et me font descendre la rampe à toute vitesse pour rejoindre l'infirmerie juste sur le côté.

Pendant que les infirmières m’humidifient le visage avec de l’eau bénite, je m'efforce de ramener la paix au fond de moi et ce n'est qu'au bout de plusieurs minutes que j'accepte d'ouvrir enfin les yeux… Je suis complètement stupéfait, je n'ai aucune douleur, je vais parfaitement bien et je pourrais très bien me lever et rentrer seul à la Pousada comme s'il ne s'était rien passé. Il n'y a aucun écoulement de sang ou de liquide encéphaliques comme si les deux parois s'étaient refermées spontanément. C’est d’ailleurs ce qui a bien dû se faire.

A mon très grand étonnement, je respire normalement par les deux narines sans qu'il y ait la moindre différence de pression de l'une à l'autre. Je ne peux comprendre comment cela peut se faire, les deux perforations se sont déjà refermées "toutes seules" ou presque, c'est impressionnant… Plus tard après mon retour en France, une femme chirurgienne connaissant bien les trépanations pour les avoir pratiquées pendant plusieurs années, visionnera longuement la vidéo et ne trouvera aucune supercherie. D'après ses estimations, la pointe de la pince a dû rentrer dans la matière molle du cerveau de un à trois centimètres sans provoquer le moindre trouble et surtout la moindre lésion ce qui est médicalement parlant impossible.

Mais je suis quand même en état de choc et je suis invité à me coucher sur un lit de repos ce que j'accepte bien sûr. J'ai quand même besoin de relâcher les tensions, tout c'est passé si rapidement et mon mental a beaucoup de mal à comprendre et à admettre tout cela. Il est impossible d'introduire un tel objet au centre du cerveau sans provoquer un schisme pouvant entrainer la mort où des séquelles graves irréversibles...Qu'a t'il bien pu se passer pour que je me porte aussi bien ?

Dès cet instant, j’ai compris que notre corps n’était qu’une partie secondaire de notre être et que la part la plus importante est forcément spirituelle, en lien étroit avec les Entités de Lumière de l’Univers...